Le doute doit profiter aux déclarants mineurs ; ce n'est pourtant toujours pas le cas, ainsi les services de l'Etat ne respectent pas les avis d'état, ni nos engagements auprès de l'Union européenne ?
8 mars 2006: Les Ministères de la Justice et de la Santé, conjointement, saisissent l'Académie Nationale de Médecine sur la même problématique. Celle-ci rend un rapport le 16 janvier 2007 : par la méthode de Greulich et Pyle l'âge peut être correctement apprécié en dessous de 16 ans ; « cette méthode ne permet pas de distinction nette entre 16 et 18 ans »...
"Elle insiste sur le respect dû à la personne du mineur.
Le rapport de l'IGAS insiste sur la nécessité « d'une utilisation circonstanciée de l'expertise d'âge, techniquement irréprochable et prudente ;...en cas de doute persistant, celui-ci doit profiter au jeune qui doit être considéré comme mineur ».
Résolution du Conseil de l'Europe du 26 septembre 1997